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La génération Z adopte le « task masking » au travail. Quel en est l’impact ?

Gen Z is ‘task masking’ in the workplace. How harmful is it?

Dans le milieu professionnel actuel, une nouvelle tendance émerge parmi la génération Z : le « masquage des tâches ». Ce phénomène se caractérise par une gestion stratégique de la présentation de sa charge de travail, souvent pour masquer des difficultés rencontrées en matière de performance et de concentration. Le masquage des tâches peut avoir des implications variées pour les employés et les entreprises.

Le masquage des tâches est souvent motivé par une pression sociale considérable et par le désir de répondre aux attentes des employeurs. Les jeunes travailleurs peuvent se sentir obligés de démontrer une productivité constante, même lorsque cela implique de dissimuler des obstacles. Selon des experts, cette volonté de « faire bonne figure » peut engendrer un stress supplémentaire et affaiblir le bien-être émotionnel. Les employés de la génération Z aimeraient que leur management comprenne les défis uniques qui viennent avec l’utilisation des nouvelles technologies, les attentes accrues et le désir d’atteindre des résultats parfaits.

Les conséquences de cette pratique ne se limitent pas seulement à l’individu, mais elles touchent également la culture organisationnelle. Un environnement où le masquage des tâches est courant peut mener à une meilleure productivité à court terme. Cependant, sur le long terme, cela peut engendrer une démotivation croissante, des burnouts et une augmentation du turnover. La transparence et la communication ouverte sont des éléments essentiels pour contrer cet effet nocif. Les entreprises doivent encourager une culture où les employés se sentent en sécurité pour admettre leurs luttes sans crainte de jugement.

Pour atténuer les effets du masquage des tâches, il est crucial que les employeurs prennent conscience des réalités vécues par leurs équipes. Offrir des ressources pour la gestion du stress, promouvoir un équilibre entre vie professionnelle et vie personnelle, et instaurer un dialogue honnête sur la performance peuvent aider à créer un environnement de travail plus sain. En fin de compte, il s’agit de favoriser des relations de confiance où chaque membre de l’équipe se sent soutenu et valorisé, ce qui peut contribuer à une meilleure cohésion et à une productivité durable.

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