Le climat politique est en ébullition alors que le chef du Parti des Verts, Mark Carney, a annoncé l’imposition de contre-tarifs de 25 % sur les véhicules américains. Cette décision survient dans un contexte de tensions commerciales croissantes entre le Canada et les États-Unis, et vise à protéger l’industrie automobile canadienne. Carney a souligné que ces mesures sont cruciaux pour soutenir l’économie locale et favoriser les emplois au Canada dans le secteur automobile.
De son côté, le chef du Parti conservateur, Pierre Poilievre, a promis d’alléger la pression financière sur les Canadiens en proposant une réduction de la taxe sur les produits et services (TPS) pour les véhicules fabriqués au Canada. Dans une déclaration récente, Poilievre a déclaré : « Nous devons soutenir nos travailleurs et nos entreprises locales. Une réduction de la TPS sur les véhicules canadiens permettra non seulement d’alléger le fardeau fiscal des familles, mais aussi de stimuler notre économie. » Cette promesse vise à encourager la consommation de produits locaux tout en faisant face à la concurrence étrangère.
Les répercussions de ces mesures seront scrutées de près, alors que la campagne électorale bat son plein. Les électeurs devront peser les avantages et les inconvénients des politiques de Carney et Poilievre en matière d’économie et de protection de l’emploi. L’issue de cette lutte politique pourrait fortement influencer le paysage automobile canadien et la manière dont le pays interagira avec ses voisins au sud de la frontière. Les prochaines semaines seront donc cruciales pour les électeurs canadiens, alors qu’ils examineront les positions des différents partis sur ces questions vitales.